la femme fremissa.
sans sa tunique elle avait froid...mais la chaleur du corps de stelahs la rechauffait rapidement dune chaleur douce et recnfortante.
au lieu de sabandonner au jeux de lamour, au debut la femme se coa contre lui ets e kita ronronner, saouran cette chaleur agreable qui emanait d elui....cela fesait si longtemps..!
- si le soir tu regarde le ciel et que les etoiles ont disparut, dit toi quelle se son caché,...partie pour aller créé l'etre parfait qui un jour te rencontreras, et qui taimera, que tu pourras aimer ouvertement. Cette etoile sera des plus brillante, une colombe parmis le svautours...et sera destiné au bras d'un aigle fort et puissant...
elle ronrona encore...
elle etait si bien...
- mais si a se sbras tu te refuse...je resterais pres de toi...car je suis le lys noire de se monde...aussi delicate que forte....mais ses graces a celui que jm, qui me fait grandir, qui membeli de jour en jour....tu compte pour moi stelash, ne joue pas avec mon coeur, je sais que jai fait des betises...et je les regretterai toute sma vie, mais jai toujours eu la meme peur...que tu tamuse avec moi comme une maitresse, comme uen pariat juste bonne pour concevoir des enfants ou encore a assouvir ta soife de caresse....je ne peux lire en toi, je ne reussit jamais...je ne sais pas si tu maime relement...mais toi tu peux lire en moi et tu peux svaoir a quel point tu mes precieux...anyeth.